MDFR

MDFR comme ...

Dimanche 21 août 2011 à 13:50

 
     
Connaissez-vous le maelstrom conjugal ?
      Ce terme désigne le phénomène par lequel une soirée où se croisaient une centaine de personnes à la démarche plus ou moins rectiligne se vide subitement de ses invités à partir de 23h. On qualifie ce maelstorm de "conjugal" car il semble ne s'applique qu'aux personnes venues avec leur concubin (ou de toute autre nationalité). Les causes n'en sont pas encore tout à fait claires mais on peut d'ores et déjà les classer en deux catégories.

      La première, nous la nommerons narcolepsie conjugale, est un état de fatigue avancée que seules les "conjugués" semblent ressentir à partir de 22h, 22h30. Malgré quelques années de recherches sur ce point, aucune équipe de scientifiques n'est encore parvenue à élucider avec certitude la raison fondamentale de ce sommeil soudain. Les hypothèses à ce sujet sont nombreuses : du dérèglement de l'horloge interne à la sécrétion d'une phéromone soporifique en passant par des troubles mentaux divers et mariés. Aucune de ces allégations ne semble sortir du lot; la narcolepsie conjugale reste donc une énigme insoluble à l'heure actuelle.

      En revanche, la seconde cause du maelstrom n'est un mystère pour personne. Son nom, on le murmure tout bas dans les églises pour ne pas faire bander les ecclésiastiques, c'est la fornication. Vous comprendrez sans schéma ni diagramme en bâton les tenants et les aboutissants de cette deuxième facette du maelstrom conjugal.

      Ayant distingué les deux fondements de notre énigme scientifique, il convient d'en analyser un autre aspect : la contagion. En effet, que l'un ou l'autre couple se sente soudainement investi de la mission de perpétuer l'espèce humaine durant une réception ne devrait pas changer fondamentalement le cour de la dite réception. En revanche, si tous décident de retourner dans leurs penates pour s'adonner aux plaisirs de l'oreiller ou de la chair, c'est l'intégralité de la soirée qui se voit déstabilisé.
      Là encore, on ne peut que faire des suppositions à ce sujet. La plus plausible reste celle du comportement "ovin au vin". Elle stipule que le sommeil ou le désir sont stimulés par un comportement moutonnier enhardi par une dose d'alcool plus ou moins forte selon les individus. Aussi, si l'on suit cette hypothèse, dès que l'un des couples se décide à aller tâter de l'édredon les autres suivent progressivement, leur ordre de départ dans la soirée dépendant de la quantité d'alcool absorbée et de leur influençabilité.

      On peut alors poser cette thèse sous forme d'équation :
Soit X l'heure de départ du couple étudié
Soit H l'heure du départ du premier couple
Soit A l'indice d'alcoolémie du couple calculé en fonction du poids et de l'âge des concubins
Soit I l'indice d'influençabilité du couple sur une échelle qui reste à déterminer

      Nous obtenons donc : X = H x A x I

      Mais, alors que je retire mes lunettes de scientifique offertes par Picsou Magazine, j'entends que au fond, on gausse, on rit de moi, on s'amuse de mes théories, bref, on se paye ma pomme. Je répondrai donc à ceux qui m'assène un " c'est parce que 'es célibataire que tu écris des pages de ces conneries, lol XD", que vous pouvez vous retirer et revenir quand vous aurez les XD clairs et qu'ensuite, je fais seulement là mon devoir en informant la population (ou du moins celle qui a le courage de ma lire) d'un sujet de société on ne plus important. Sur ce je vous laisse, d'autres énigmes scientifiques méritent des éclaircissements.


     Je sers la science et c'est ma joie

Mardi 28 juin 2011 à 19:48

      A l'heure où je vous parle, la chaise sur laquelle je suis assis fond lentement tel le beurre sur les pâtes (cette image poétique, je la tient de M. Panzani qui adore les chaises en plastique). Si l'ustensile de bureau susnommé se permet de passer de l'état solide à l'état liquide sans ma permission, ce n'est pas juste pour m'agacer. Il y a une raison plus scientifique à cela, et il n'y a pas besoin d'avoir scénarisé les Experts pour découvrir l'origine de ce phénomène. C'est la chaleur me direz-vous; eh bien oui, pour une fois que vous ne vous mettez pas les métacarpes -dehors il fait froid- dans l'oeil jusqu'au cubitus, cela mérite d'être souligné (et avec un double décimètre et un stylo rouge s'il vous plait, sinon vous me ferez cent lignes). C'est la chaleur donc, la cause de cette fonte de chaise sans préavis. C'est la chaleur, qui nous accable, en ville comme à la campagne ou à la montagne et qui arrache à l'automobiliste pris dans les bouchons ce brame superbe et dramatique "bouge toi, con, tu vois pas que j'ai Ginette qui sue sur les sièges de la BX ?" (l'accent dur Sud apportera une touche d'exotisme au tableau). C'est la chaleur qui nous fait suinter de toutes parts, qui nous tient éveillé jusqu'au milieu de la nuit et qui nous éreinte de sa main lourde et brulante.

 
      A cet instant, vous me direz (parce que vous ne pouvez pas vous empêchez de l'ouvrir) "mais l'été stipule qu'il doit faire chaud, l'été stipule que les gens doivent suer et l'été stipule que les sièges de BX doivent virer au jaune" (en citant l'automobiliste lambda lui même cité plus haut). Ce à quoi je vous répondrai que j'aimerais assez que vous arrêtiez assez de jouer avec "l'été stipule" de n'importe qui pendant que je vous éructe ma souffrance en pleine face.

Avec beaucoup de mousse s'il vous plaît
 
      Je poursuivrai, non pas en apportant une hypothèse comme à mon habitude, mais en ouvrant le débat. En effet, vous conviendrez avec moi que cette atmosphère suffocante n'est pas le simple fait d'événements naturels. Je m'interroge donc. Sont-de les glaciers et les climatiseurs qui, forgeant un odieux cartel, s'associèrent en douce pour porter le climat européen à ébullition, ce dans le but évident de vendre plus de leurs produits ? Serait-ce le gouvernement qui aurait allumé la chaudière de l'Elysée thermostat 4 afin de nous faire croire que les immigrés nous amènent leur climat en plus de leurs familles, ce avec de transparentes visées électoralistes ? Ou bien, le monde serait-il un toasteur géant ?
      Je ne suis absolument pas en mesure de répondre à mes propres questionnement, j'aurais donc besoin de votre aide pour déterminer les causes de cette chaleur au parfum de complot.

      A vos claviers, la meilleure réponse donnera droit à un kit de plage Téléthon, quoi de mieux que faire des pâtés de légumes ?

      Sur ce, je vais me réfugier dans le réfrégirateur en attendant de partir vers des contrées plus hospitalières.
 

Mercredi 8 juin 2011 à 23:30

      Ce soir, nous parlerons de discrimination. Une discrimination absolument infâme puisqu'elle ne s'appuie pas comme d'habitude sur des aspects physiques, religieux ou ethniques, mais bien sûr les goûts de la personne. Et cet ignominie je vous la désignerai, je donnerai son nom, sans craindre les foudres de qui que ce soit car comme chacun le sait je ne suis pas raton laveur et je ne suis paratonnerre. La voici donc, cette odieuse discrimination qui pollue la vie de nos entreprises : la machine à café.

      En effet, pour quiconque ayant un penchant pour l'arabica version distilation de gnôle à la foire communale, la machine à café est une instance de socialisation extremement efficace au sein d'une société ou d'une administration. Cependant, si vous brûler les phalanges sur une timbale en plastique ne vous attire pas, on vous rejette. Vous ne pourrez alors jamais rentrer dans cercle très fermé des amateurs de caféine de bureau. Outre les lacunes évidentes en matière de relations sociales, c'est votre culture toute entière qui patira de cette aversion pour le café. En effet, si vous ne vous pressez pas devant le saint appareil au moins trois fois par jour, comment sauriez vous que Lyon est en difficulté, et que de toutes façons c'est Lorient qui ca gagner cette année; comment pourriez vous être au courant des péripéties palpitantes des Anges de la télé réalité; comment encore connaîtriez vous le dernier calembour à la mode?
      La réponse est simple, vous ne le pourriez pas. Il y a donc discrimination votre honneur. Je propose donc que l'on retire ces appareils du diable qui, non content de déverser leur fiel sombre dans le gosier déjà bien attaqué par le pinard en cubi de nos compatriotes, englouti des sommes gargantuesques en caféine, sommes qui pourraient être bien mieux alloués si elles étaient dépensés dans la lutte contre la consommation de stupéfiants. Par stupéfiants, j'entends de citoyens stupéfiants; en effet sur l'année 2011 il a été porté à ma connaissance qu'une bonne centaine de sosies de Victor Lanoux avaient été dévorés par des clochards alcoolisés. J'ajouterai enfin que la disparition de la machine à café mettrait fin à des années de domination du petit noir sur l'homme eau plate.






      En conclusion je dirais que ça faisait un long moment que je n'avais pas écrit d'article et que ça fait du bien de retrouver clavier de mes rêves, et vous aussi lecteurs de passage, même si vous êtes amateurs de café.


Mardi 15 février 2011 à 21:42

     Quel meilleur moment que la Sainte Claude pour évoquer ses amours déçus ?
C'est en réfléchissant à cette question que j'en suis venu, touche à touche, à écrire cet article qui parlera comme vous vous en doutez, d'un idylle impossible.

      "Je ne connaissais pas son âge mais elle me semblait avoir connu plus de printemps que moi. J'ai tout de suite été séduit par sa voix. Oh bien sûr elle n'était pas cantatrice mais elle parlait avec l'assurance de celles qui savent ce qu'elles veulent. Sa conversation, bien que souvent redondante ne m'ennuyait jamais. J'avais l'impression de la redécouvrir à chaque fois, à toute heure que je l'entende. Sa voix. C'est réellement ce qui m'a poussé dans ses bras. Elle était douce, pleine de volupté, et bien qu'elle n'eut aucun accent, son timbre distillait des promesses d'exotisme.
Je l'ai rencontré dans le train pour la première fois. Sa voix m'est parvenue comme un miracle, et dès lors, le lever de soleil que je regardais de l'oeil sec de la torpeur matinale s'est illuminé; les couleurs paraîssaient plus vives. Moi même je paressait, plus vif.
C'est ainsi que commença le processus. Je ne devais plus pouvoir penser à autre chose qu'à sa voix envoutante. Elle me suivait toute la journée et je me surprenais parfois la nuit à sentir à sa moindre évocation poindre en moins une rigidité qui aurait fait pâlir toutes les érections des pyramides de Kheops. Cette situation semblait ne jamais vouloir prendre fin.
      Et pourtant, comme le démontrent chaque jours des millions de pauvres, tout a une faim.
      Celle ci ne devait connaître aucune bataille épique, aucune dénouement en apothéose sanglante ; point de Termopyles, point de trépas sous une pluie de fer et de chair; notre idylle devait s'embourber dans la fange de la routine et de l'écoeurement progressif. 
J'avais de plus en plus de mal à supporter ses facéties ironiques, elle me prévenait toujours trop tard de ses indisponibilités, se jouait de moi avec ses retard intempestifs et me sussurrait que 35 minutes n'en faisaient que 25. J'étais déboussolé, perdu; mes repères étaient flous. J'avais terriblement besoin d'elle. Chaque jour et pendant plusieurs mois j'avais saisi la moindre oscillation de sa voix, j'en avait perçu le moindre megahertz, je vivais totalement en phase avec sa notion du temps. Néanmoins, ses absences étaient de plus en plus fréquentes, et telle la mer rongeant patiemment la falaise, le quotidien finit par effriter notre relation, galet après galet, grain de sable après grain de sable, pêcheur trop près du bord après pêcheur trop près du bord .
      Voilà où nous en sommes arrivés, le lendemain de la Saint Valentin. Je ne veux plus d'elle, je veux m'en séparer. Ce que je n'avais pas prévu en m'accoquinant de pareil sirène, c'est que son chant me ferait perdre pied et que la réalité ne soit plus qu'un voile flou autour de moi. Elle a profité de cette faiblesse. J'ai signé un pacte avec le diable. Je lui suis lié par contrat désormais."

Ceci était un extrait de "Envouté par la SNCF", le roman à l'eau de tulipe, de rose et vie de Mdfr, à paraître aux éditions du Faisan qui s'incline.

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Lundi 10 janvier 2011 à 22:10

      En ce soir de la Saint Guillaume, je vais tenter de prendre mon courage à deux mains pour mettre sur pieds un article qui me tient à coeur depuis longtemps. Seulement c'est un sujet très sérieux et qui risque de durer en longueur. Donc si vous aviez prévu de dormir ce soir, tenez vous en aux premières lignes, ce sera bien suffisant.
        Ce sujet parcourt mon esprit depuis maintenant un bon bout de temps et il concerne chacun de nous. En effet, aujourd'hui, dans le cadre d'un programme pédagogique approuvé par le ministère de l'éructation nationale, nous allons tenter d'étudier un mystère qui reste entier tant dans le domaine des sciences naturelles que sociales, j'ai nommé : les cons.
      On en croise tout le temps, on en côtoie souvent et on en épouse rarement : les cons font partie intégrante de notre société.
Mais avant de continuer cette étude, faisant une petite halte sémantique : nous définirons comme con une catégorie de personne dotée de capacités de réflexion diminuées, volontairement ou non, laissant volontier leur conscience divaguer à des exercices tels que le concours de pet ou la collection de dessous de verre en acajou. Par exemple, nous considérerons qu'une personne qui à la question "où se situe la Tanzanie ?" répond "à côté des Barilla"; est un con. Par ailleurs, je tiens à préciser que je ne conjugerais pas con au féminin afin de ne faire aucun amalgame avec les cônes glacés et ainsi, de faciliter la compréhension de cet article par les cons.

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      Ces précisions effectuées, nous pouvons attaquer notre introduction par un bref historique du con.
On retrouve des traces de la présence de con dès la préhistoire : des archéologues ont ainsi récemment mis à jour des peintures rupestres décrivant des chasseurs traquant le mamouth armés de brosse à cheveux. Je vous passe ensuite toute l'évolution du con jusqu'à aujourd'hui avec son intégration à la société contemporaine, parce que en réalité, ça me gonfle plus ou moins cet historique mais paraît-il que ça fait bien un historique pour débuter une étude. En réalité, cette introduction bâclée nous amène là où je voulais en venir (tout de même, au bout de 25 lignes se serait dommage) : comment le con a-t-il survécu à l'évolution ?

     En effet, chacun a appris lors de cours de sciences naturels abrutissant que nous, êtres humains modernes, homo sapionce sapionce, sommes le fruit d'une longue, très longue évolution qui a mis au ban des milliers d'autres espèces. Alors comment le con a-t-il pu s'adapter lorsque son homologue a commencé à se tenir debout ? comment n'a-t-il pas été rejeté lors de l'érection de sociétés de plus en plus modernes ? En d'autres termes, comment le con, avec son survêtement fluo, nous est-il parvenu malgré les embûches tendues par dame Aux fines herbes, dame Paprika et dame Nature ?

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      Nous étudierons tout d'abord l'aspect purement physique, biologique, du con pour nous intéresser ensuite à ses caractéristiques sociales.

       Observons un moment le règne animal voulez vous. Comment  ?
       C'est très simple, prenez une espèce et observez là, cependant je vous conseillerais de ne pas prendre l'éléphant tôt, car on ne le trompe pas comme ça, je vous le barrit. On retirera de cette expérience que le faible n'a pas sa place dans ce monde. Zèbres à trois pattes et autres castor à mât ne ferons pas de vieux os en milieu naturel. Pas de place pour les faibles, la Nature élimine ceux qui ne sont pas à même de perpétuer l'espèce.
       Mais et le con dans tout ça ? Comment ce fait-il qu'il en reste encore alors que Roger, mon voisin con, est incapable de faire la différence entre une grappe de groseille et de cigüe ?
       La réponse est simple, l'homme est un animal social comme l'ont dit plusieurs philosophes, qui à en juger par la taille de leur barbes et leur mines constipées, ne pouvaient pas bien dire des conneries. Néanmoins, on peut se demander, pourquoi l'homme dans sa recherche perpétuelle de progrès, s'est encombré de boulets du genre cité plus haut. La réponse tient dans la deuxième caractéristique fondamentale de l'homme.


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C'est le genre d'auteur qui doit vous Rabelais des souvenirs, non ?

 
       Comme nous le disions précédemment, ce qui différencie l'homme de l'animal, c'est sa capacité à s'unir et à travailler avec son semblable face à l'adversité. Mais, il y a une autre chose qu'aucun bestiaux de bas étage ne pourra s'approprier : c'est le rire. Comme le disais Rabelais "le rire est le propre de l'homme", et il avait raison le bougre, car, alors que le chien chie là et que le veau, rien, l'homme rit.
Fort heureusement pour le con l'homme rit. Il rit de ses frasques rocambolesques, de ses attitudes ridicules et de sa propension à toujours se renouveller dans le domaine de l'improbablement grotesque.
       Et c'est bien la seule raison pour laquelle le con a traversé les âges. Car des êtres capables de telles prouesses  peuvent de s'étouffer à la première cacahuète venue si on ne prend pas soin d'eux. L'homme lambda a donc mis en place des institutions spécialisées pour les cons, notamment ces dernières années.
      Par exemple, le marquage des cons est de nos jours une norme dans toute l'Europe. En effet, on les distingue bien avec leur casquette posée sur le sommet du crâne ou leur chaussettes spéciales par dessus le pantalon. De grandes chaînes de télé ont même voulu faire sortir les cons de l'ombre (si vous trouvez un jeu de mot avec concombre je suis preneur, j'ai cherché mais je n'y suis pas parvenu), par exemple, TF1 s'est beaucoup investi dans son processus de représentation des minorités visibles des cons avec ses émissions de télé réalité.
Et c'est loin d'être terminé, les autres médias s'y mettent : une presse spécialisée émerge pour rapprocher l'homme du con : la presse people; internet est par ailleurs un formidable tremplin pour les cons anonymes qui souhaitent devenir célèbre (la suite du programme leur laissant le choix entre le suicide, la pornographie ou la caisse de Monoprix).

      Conclusion générale : Finalement, le con, qui partait avec bien peu de chance de survie dans ce monde hostile, a surmonté cette difficulté grâce à ses capacités hors du commun. Il est aujourd'hui incontournable au sein de notre espèce. Ses vertus sont louées, son appartement en revanche est sous loué, mais il s'en fout, le con prend petit à petit le pouvoir, ce qui incite des milliers de nos concitoyens à devenir eux même cons par diverses opérations de chiurgie plus ou moins esthétique.
      Le con est une valeur en hausse, c'est le moment d'investir.


Lui avait oublié d'être con en revanche.

Je vous en prie, ne soyez pas cons descendant dans vos commentaires.

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